Nous avons reçu la visite de représentants du ministère de la santé du Japon qui veulent faire évoluer leur minimum data set en se basant sur le travail effectué en France ces derniers mois. Nous sommes ravis qu’une collaboration de cette nature se mette en oeuvre, cela représente un pas de plus vers l’élaboration d’un format commun d’échange de données à l’échelle internationale.